Plus sur l’artiste

Un cocktail fantastique et expérimental de musique arabe, de productions électro et de mélodies déchirantes.

Nouvel album « MRA » (19 avril 2024 / Yotanka Records)
En écoute ICI

Depuis ses débuts en 2011 avec « Kelmti Horra », un titre devenu un hymne à la liberté en plein printemps arabe, Emel n’a cessé de sortir des albums révolutionnaires – où elle a collaboré avec le compositeur de Björk et Sigur Rós.

Son quatrième album, « MRA » – qui signifie « femme » en arabe – est un manifeste pop/world/électro pour l’émancipation féminine. C’est pourquoi toutes les collaboratrices de MRA, qu’il s’agisse de productrices, d’artistes, de musiciennes ou d’autres, sont des femmes – marginalisées en termes de reconnaissance, mais surdimensionnées en termes de capacités. Le résultat est un mélange multigenre où le trap africain, la batucada, le reggaeton arabe, le hip hop et la drum n’bass se côtoient sans heurt avec des mélodies vibrantes et des paroles stimulantes.

Mais Emel revient de loin. Cette chanteuse américano-tunisienne s’est imposée comme une artiste d’avant-garde sur la scène internationale, réalisant des performances inédites – comme l’invitation à chanter lors de la cérémonie du prix Nobel – et collaborant avec des artistes tels que Valgeir Sigurdsson, Tricky, Barbara Pravi, Bachar Mar-Khalifé et Vitalic, et plus récemment avec Camelia Jordana et Acid Arab lors son dernier album « MRA ».

 

PRESSE

 Trip sonique, une œuvre ambitieuse et stylisée à cheval entre l’orient et l’occident, qui la positionne davantage dans la lignée d’une Björk  – Les Inrocks

 « Une lettre d’amour à la sororité, à la diversité, et à la lutte pour l’égalité » Radio Nova

“Un cocktail fantastique et expérimental de musique arabe, de productions électro et de mélodies déchirantes.” FIP

“La métamorphose magistrale d’Emel” FRANCE INTER

En accord avec Your European Stage

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